SOFTY-SMILECHAPITRE 15TOME 2

J'avais résisté tant de temps que je ne savais plus le plaisir que me procurait le contact des ses lèvres aux miennes, le contact de nos deux corps si proches.. J'en perdais la tête et le désir montait en moi, me faisant perdre toute raison. Cependant, la réalité me rattrapa vite et la culpabilité que j'éprouvais pouvait parfaitement masqué mes envies. Je m'arrêtai de l'embrasser.

J'étais alors sortie de sa chambre, claquant la porte derrière moi, essayant de retenir mes larmes le plus longtemps possible, je devais absolument faire un effort, et être forte malgré tout, je devais assumer mes actes, à présent. Mais j'aurais tellement voulu ne rien avoir à lui cacher. Je regrette notre histoire, le bon vieux temps, beaucoup trop, et ce goût amère dans ma bouche, me le rappel sans cesse. J'aurais jamais voulu que nous deux ça se termine. J'aurai été prête à t'attendre tellement longtemps, que lorsque tu aurais été là, je me serais réjouis de t'avoir attendue, d'être restée là, pourtant à présent, tu me parais tellement loin sur ton, pourtant, je t'ai longtemps attendu. Zac, depuis que j'ai 8 ans, 8 bougies sur mon gâteau, je suis folle amoureuse de toi. Mais l'amour le vrai, mon amour, pour toi, je n'ai jamais eu le courage de te l'avouer, et si tu savais combien je m'en voulais de t'avoir fait subit tout. J'en paye le prix, tu n'es plus miens, c'est décevant de ma part, et égoïste, mais je veux que tu reviennes près de moi. Je t'aurai attendue, que tu guérisses, des blessures qui s'étaient formées sur ton cœur, je voulais les combler, les effacer. Tu n'as pas idée à quel point je me sens mal, de la peine que sa m'inflige, je le cache d u mieux que je peux, mais tu me manques tellement. Cela me tue, de ne plus pouvoir tout te raconter, de tout te déballer, comme lorsqu'on était adolescent, et qu'on se foutait de nos propre vies. Je voudrais revenir en arrière, effacer certaines écritures de ma vie, en arracher des pages, et même si il le faut, les brûler.
Zac, tu étais mon premier amour, tu es gravé en moi, pour l'éternité. J'ai besoin de toi, j'ai besoin de nous. Besoin du la joie de vivre que tu m'apportais, tu me manques beaucoup trop, sans toi, je ne suis pas moi. Je pense encore à toi. Tellement souvent. Je me rappelle de tout ce qu'on a vécu ensemble, notre histoire.
Ta vu, où nous en sommes arrivés ? T'est marié ! MERDE ! Le temps est assassin, tu était mon remède. Jamais j'oublierai comment je me sentais en t'apercevant du coin de l'œil, ou tous les papillons qui ont habités mon estomac chaque seconde où j'étais avec toi.
Arrivant devant une porte, je ne savais même pas où elle menait, je voulus échapper à ma vie quelques instants, et l'ouvrit, découvrant, l'immense salle de bain de la villa. & c'est là, que je ne pus d'avantage retenir mes larmes, je me sentais complètement anéantie, et une boule s'était formé au fond de mon estomac, qui me rongeait de l'intérieur, alors, ma vie se résumait simplement à lui ? Tout tournait autour de lui. & lorsque je vis mon propre reflet dans le miroir, je me surpris, à me dégouter moi même. J'avais embrassé un homme qui venait de se marier, à une femme, sans doute plus que géniale, à qui je n'arrivais même pas à la cheville, pourtant, mon cœur me demandait toujours, il n'avait plus de forces. On frappa alors à la porte, ce qui me fit sursauté, j'étais tellement dans mes pensées, que le moindre bruit m'effrayait. Ayant fermer la porte à clef, j'allai l'ouvrir, et découvrit Zac, qui me fit entrer à l'intérieur en vitesse, et referma de nouveau la porte à clef derrière lui.

Sans plus attendre, il me plaqua contre la paroi de la douche, que j'allumai sans faire exprès, ce qui nous trempa jusqu'aux os, pourtant, je me sentais tellement bien dans ses bras, que je n'y prêtais même pas attention. Je passa, une main dans ses cheveu, pendant, qu'il basait la fermeture éclaire de ma robe, ce qui la fit glisser au sol mouillé, et fit découvrir mon corps. Il retira veste et la lança au sol, et j'entrepris de défaire chaque boutons de sa chemise. On prenait notre temps, savourant chaque seconde de nos retrouvailles. Savourant chaque baiser, chaque caresse, chaque souffle sur nos deux corps nues, on se foutait complètement des autres, lui & moi, l'essentiel. Nos deux corps collés l'un à l'autre, j'ai l'impression de décoller jusqu'au septième ciel, mon bonheur c'était lui. Nous étions alors serrés l'un à l'autre, l'un en boxer, moi en sous-vêtements.

Ce fut, sans doute, la plus belle soirée de ma vie, parce que ces bras m'avait tellement manqué, et que son odeur avait envahit mon corps. J'étais folle de lui, c'est vrai, je ne voulais pas le laisser partir. Pas une seule fois, cette nuit là, je n'avais pensé à Lauren, ce qu'elle devait ressentir, ou si elle venait à l'apprendre, nous avions juste cacher notre jeu. Pourtant, en entrelaçant mes doigts dans les siens, pendant qu'il me faisait l'amour, j'avais senti cette bague sur son doigt.